La lettre ouverte est publiée sur le site web du groupe Science for Truth. Dans ce document, le groupe lance un appel :
1. conjuguer les efforts pour développer une vision objective et scientifiquement exacte de la normalité mentale, afin que l’homosexualité, le transsexualisme, le sadisme et les autres paraphilies ne soient pas considérés comme une option de santé. Créer un groupe de travail composé de spécialistes de la psychiatrie et de la psychologie, du droit et des sciences juridiques, afin de mener conjointement des recherches approfondies et des travaux scientifiques dans le domaine de la santé psychosexuelle.
2. Publier des articles scientifiques sur ces sujets dans des revues internationales et russes et prendre une position active dans le discours international.
3. Formuler des lignes directrices cliniques qui tiennent compte de l’expérience scientifique russe, y compris de l’expérience acquise dans l’élimination de l’attirance non désirée pour le même sexe et dans la correction d’autres anomalies du développement psychosexuel. Créer une classification des handicaps mentaux adaptée à la FR, comme ce fut le cas avec la CIM en URSS.
4. Développer des mécanismes de contrôle des activités des psychologues et des sexologues qui violent la loi interdisant la promotion des relations non traditionnelles auprès des mineurs dans le cadre de la thérapie dite “d’affirmation des gays et des trans” et les tentatives d’introduction d’une idéologie d’agression sous couvert d'”éducation sexuelle”.
5. Développer de nouvelles méthodes et mettre à jour les méthodes existantes pour la correction et la prévention des troubles du développement psychosexuel.
6. Élaborer une stratégie fondée sur des données probantes pour la protection des valeurs pro-famille, en publiant des articles dans des revues internationales et russes de la RSCI.
7. Renforcer les critères de sélection et d’agrément des organisations médicales qui reçoivent le droit d’effectuer des examens en vue de la délivrance du certificat n° 087/”Certificat de changement de sexe”.
8. Inclure les médicaments hormonaux utilisés pour les retards de développement sexuel et les transitions sexuelles dans la liste des médicaments soumis à une quantification subjective.
9. Veiller à ce que les scientifiques russes puissent exprimer leur position scientifique sans craindre pour leur carrière et leur salaire. La partie bonus des salaires des scientifiques dépend de l’activité de publication. Dans un contexte de “politiquement correct” et de censure, les publications occidentales et russes ayant un facteur d’impact élevé ne publient pas les travaux qui vont à l’encontre de la politique de dépathologisation des comportements de dépopulation (promotion de l’homosexualité, de la transsexualité et d’autres déviations psychosexuelles), faisant ainsi pression sur la libre présentation des positions scientifiques.
10. Rechercher et transmettre notre appel à l’ONU et à l’OMS : https://pro-lgbt.ru/open-letter-to-un/
“Vous, Mikhaïl Albertovitch, qui vous êtes exprimé devant le Conseil de la Fédération, avez déclaré que la Russie ne devait pas rompre ses relations avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), car il s’agit d’une plateforme d’échange d’informations qui permet au pays de promouvoir et de défendre son point de vue. Mais pourquoi la Russie n’a-t-elle jamais été en mesure de protéger les valeurs traditionnelles de l’OMS ?
Le moment est enfin venu de défendre le point de vue russe sur l’anormalité de l’homosexualité et de la transsexualité, et de reconnaître que les revendications de normalité sont contraires à la loi 6.21 du CAO RF. Et la loi devrait s’appliquer aux psychiatres, sexologues et psychologues en Russie.
Il est temps de protéger enfin les enfants russes du massacre auquel les militants LGBT et les psychologues formés à leurs coursles conduisent”, indique la lettre.
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