L’engagement du Kentucky à protéger la vie des enfants à naître a été réaffirmé lorsque l’ACLU du Kentucky a retiré son action en justice, Poe v. Coleman, qui contestait les lois pro-vie de l « État. Ce rejet garantit que la loi de déclenchement du Kentucky et l’interdiction de l’avortement dans les six semaines restent intactes, protégeant les bébés contre l’avortement dans presque tous les cas. Ce résultat reflète les fondements moraux de l » État et la volonté de ses habitants, qui attachent de l’importance au caractère sacré de la vie dès la conception.
L’action en justice, intentée en novembre 2024 devant le tribunal du comté de Jefferson, visait les lois promulguées après la décision de la Cour suprême des États-Unis de 2022 d’annuler l’arrêt Roe v. Wade. La loi de déclenchement du Kentucky interdit les avortements, sauf en cas d’urgence médicale grave. Cette loi soutient l’idée que la vie commence dès la conception et mérite d’être protégée, quelles que soient les circonstances, car il n’existe pas de droit constitutionnel à l’avortement – un fait que la plaignante, une femme de Louisville utilisant le pseudonyme de Mary Poe, et l’ACLU n’ont pas réussi à renverser.
Le procureur général du Kentucky, Russell Coleman, fervent défenseur des valeurs conservatrices, s’est fermement opposé à la contestation de l’ACLU. Son bureau a qualifié l’action en justice de « sans fondement » et de « tentative désespérée d’imposer un programme d’avortement radical ». À la suite du rejet volontaire de l’ACLU, le 30 mai 2025, M. Coleman s’est exprimé sur X en déclarant : « Les lois pro-vie du Kentucky sont solides, elles protègent des vies innocentes et reflètent la volonté de notre peuple ».
Le recul de l’ACLU fait suite à une série de revers juridiques pour les défenseurs de l’avortement. En 2023, la Cour suprême du Kentucky a statué que les entreprises pratiquant l’avortement n’avaient pas qualité pour agir au nom de leurs clients potentiels, ce qui a incité l’ACLU et Planned Parenthood à déposer l’affaire Poe v. Coleman avec une plaignante enceinte. Une action antérieure intentée par une femme identifiée comme Jane Doe a été abandonnée en décembre 2023 après que son embryon a été jugé non viable, exposant ainsi la fragilité de ces défis.
Le cabinet de la santé et des services familiaux du Kentucky n’a signalé que 23 avortements en 2023, contre 4 441 en 2021, lorsque l’avortement n’était pas limité. Cette baisse spectaculaire démontre le succès des politiques conservatrices dans la protection des vies à naître, renforçant le rôle du Kentucky en tant que phare d’espoir pour le mouvement pro-vie. Alors que l’ACLU prend du recul, les conservateurs restent vigilants, prêts à défendre ces lois contre de futurs assauts contre le caractère sacré de la vie.
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