Comme nous l’avons malheureusement tous appris récemment, une femme dérangée de 28 ans qui s’est identifiée comme un homme est entrée dans l’école chrétienne qu’elle fréquentait auparavant à Nashville, dans le Tennessee, et a tué trois adultes et trois enfants avant d’être elle-même tuée par la police. D’après les preuves recueillies jusqu’à présent, il semble que la femme ait spécifiquement ciblé l’école parce qu’elle ne soutient pas l’agenda des transgenres. Comme le rapporte l’Epoch Times, le chef de la police John Drake a déclaré :
« Nous avons des écrits que nous examinons et qui se rapportent à cette date, à l’incident proprement dit. Nous avons un plan de la façon dont tout cela allait se dérouler… On pense qu’il y avait un certain ressentiment pour avoir dû aller dans cette école ».
Sur son site web, l’école déclare sans équivoque son engagement envers les principes chrétiens :
« Notre défi est unique : éduquer les enfants du vingt-et-unième siècle d’une manière qui les prépare à avoir un impact sur leur culture et à penser en accord avec la Vérité intemporelle… À l’École de l’Alliance, nous faisons plus que simplement éduquer nos élèves – nous participons au miracle de leur développement et nous les voyons se transformer en ce qu’ils deviendront. Des méthodes et des programmes d’enseignement percutants, une chapelle quotidienne pour toute l’école et un apprentissage par le service à l’échelle de l’école constituent la toile de fond du véritable travail : aider les enfants à devenir ce que Dieu veut qu’ils soient ».
Puisque cette affaire semble concerner l’utilisation de la violence pour protester contre les principes chrétiens, une question reste en suspens : Pourquoi Amazon a-t-il vendu des produits qui soutiennent l’usage de la violence par les militants transgenres ? Sur son site web, le géant du commerce vendait des chemises et des tasses qui faisaient clairement la promotion de la violence comme moyen d’atteindre l’objectif transgenre. En effet, le tireur transgenre dans cette affaire a utilisé des armes exactement comme celles présentées sur les produits Amazon.
Dès que l’Organisation internationale pour la famille (IOF), la maison mère d’IfamNews, et l’Organisation nationale pour le mariage (NOM) ont eu connaissance de cet outrage de la part d’Amazon, elles se sont empressées de lancer une campagne de médias sociaux sur Twitter contre la vente de produits haineux qui soutiennent la violence à l’encontre de toute personne opposée au programme transgenre radical.
Et la campagne a été un grand succès ! Quelques heures après le lancement de la campagne médiatique, Amazon a fait marche arrière et a retiré les produits incriminés de sa plateforme. Brian Brown, président de l’OIF, a déclaré à propos du succès de la campagne :
« Bien qu’il s’agisse d’un pas dans la bonne direction et que nous ayons toutes les raisons de nous réjouir, nous devons rester vigilants dans notre lutte contre la haine des LGBT et la violence à l’encontre de tous ceux qui pensent et croient différemment des activistes LGBT radicaux. Il est essentiel que nous continuions à travailler ensemble pour créer une société plus sûre pour tous, en particulier pour les chrétiens.
M. Brown a ajouté que l’OIF et NOM continueraient à surveiller Big Tech pour s’assurer que la haine contre les chrétiens et d’autres personnes est stoppée dans son élan :
« Dans les mois à venir, nous surveillerons de près l’espace numérique pour nous assurer qu’aucune des entreprises du Big Tech ne promeut la haine trans ou n’est d’une quelconque manière complice de la propagation de la violence trans contre les personnes qui refusent de s’incliner devant cette idéologie dévastatrice. »
Pour en savoir plus sur la campagne contre la promotion de la violence à l’égard des transgenres et sur d’autres questions sociales, suivez @briansbrown.
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