Exterminons tous les enfants. Et puis nous cimentons le système reproductif des femmes. Pour que ces sales petits cochons, voir même moins que des cochons ces “futurs brigands” d’une “race méprisable”, “maudite”, “mauvaise” et “impure”, une race de “monstres” et d'”animaux à visage humain” “qu’il faut anéantir” (c’est la phraséologie utilisée par écrit pour justifier le génocide de la population vendéenne entre 1793 et 1794), ne viennent plus jamais au monde.
La starlette de Vogue Nel Frizell affirme qu’avoir des enfants aujourd’hui est du “vandalisme environnemental”.
Selon Vogue, un enfant en effet, est synonyme de saleté, de pollution, de pénurie de nourriture pour les autres et de toute une série de péchés capitaux qui ont désormais pulvérisé tous les autres décalogues.
Même les parasites sont meilleurs que les enfants, pour lesquels nous avons interdit le DDT. Même les chiens sont meilleurs, des chiens qui nous mènent en laisse, des serviteurs qui ne s’agenouillent plus devant rien d’autre que les excréments de nos maîtres qu’une fois ramassés dans la rue, nous gardons amoureusement le long du chemin jusqu’à la première poubelle disponible. L’ambroisie qui pousse luxueusement dans les fissures du trottoir est meilleure que les enfants. Les orties sont meilleures. Même le COVID-19 est meilleur parce que, même s’il n’est pas sain, il est (Pékin soutient) au moins “entièrement naturel”.
De plus en plus convaincu que nous ne sommes sauvés du second déluge que par la parole donnée, je me demande s’il a jamais existé, sur quelque planète que ce soit, un autre suicide collectif érigé en civilisation comme celui auquel nous assistons allègrement tous les jours.
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