C’est un oiseau.
C’est un avion.
Non. C’est… juste un autre chapitre de la subversion de la culturel à travers l’endoctrinement LGBT.
Superman est bisexuel maintenant, vous le saviez? Mais pour être honnête, nous l’avions vu venir de loin, nous savions que ça arriverait.
DC Comics a soulevé des vagues couleurs arc-en-ciel avec la nouvelle. Le scénariste Tom Taylor affirme que“ce n’est pas un subterfuge“. Et il l’a dit d’une manière sérieuse alors qu’il portait un t-shirt très frivole avec un logo Superman aux couleurs de l’arc-en-ciel..
On ne peut pas inventer de telles choses.
“On ne voulait pas dire que ‘DC Comics a créé un nouveau Superman gay'” a déclaré Taylor. “Nous voulons que ce soit une histoire comme ‘Superman se retrouve, puis se déclare subitement bisexuel,’ et je pense que c’est une distinction très importante.”
Pour être clair, ce n’est pas le Superman du temps de votre grand-père. C’est le rejeton de Clark et Lois.
Voyez-vous ce qui se passe quand papa n’est pas à la maison pour jouer au ballon dans le jardin avec son fils ? Mais je m’égare…
Et pour s’assurer qu’ils ont bien coché toutes les bonnes cases de l’agenda libéral, les scénaristes ont voulu que Jon Kent tombe amoureux d’une journaliste aux cheveux violets et à lunettes… d’origine asiatique. Jon est également passionné par “la crise climatique et les réfugiés”.
Bien sûr qu’il l’est. Comment cela aurait pu être autrement.
Taylor dit que c’est une décision “audacieuse” pour DC Comics. L’armée LGBT sur les médias sociaux dit que c’est courageux et brave. Mais Dean Cain, qui a joué Superman dans la série télévisée “Lois & Clark” de 1993, affirme qu’il n’en est rien.
Et Cain a raison.
S’exprimant sur Fox News, Cain s’est demandé “Pourquoi ne lui font-ils pas combattre les injustices qui ont conduit à l’apparition de réfugiés dont il proteste l’expulsion ? C’eut été vraiment courageux… Ou se battre pour les droits des femmes à aller à l’école, à travailler et à vivre, et pour que les garçons ne soient pas violés par les hommes sous la nouvelle administration des Talibans.”
Que des bonnes questions en somme. Mais pas pour les trolls marxistes qui gonflent leur poitrine en tapant courageusement sur leur clavier dans leur sous-sol.
Contrairement à ce qui est indiqué dans ce tweet en revanche, il n’y a pas eu de colère et de rage du mouvement conservateur. Et tout droit sorti du petit manuel de la gauche, nous voyons le besoin des scénaristes de lancer des calomnies sexuelles tout en s’en prenant à la “masculinité toxique”. Tout est si prévisible.
Et un autre témoignage de la façon dont la narration s’infiltre dans la culture : tandis que les adeptes de la ‘Cancel Culture’ attaquent au vitriol et invective ceux qu’ils n’aiment pas, d’autres se pâment avec une émotion dégoulinante dans une tentative de montrer qu’ils sont ceux qui sont tourmentés.
Jon Kent, bien.
Dean Cain, la progéniture de Satan.
Le scénariste de DC comics Taylor a claironné : ” Je vois des tweets de gens qui disent qu’ils ont fondu en larmes en lisant la nouvelle, qu’ils auraient aimé que Superman soit comme ça quand ils étaient petits, qu’ils pouvaient enfin se voir. Les gens disent que pour la première fois ils se voient dans Superman, ce qu’ils n’auraient jamais cru possible.”
L’utilisation du mot “gens” par Taylor est une manipulation de plus. Le mot “gens” est extrêmement large, dans le contexte. Or, nous savons tous que “ces gens” ne représente pas plus de 4%. Une goutte d’eau en comparaison du nombre de petits garçons qui ont rêvé de pouvoir sauter d’un seul bond d’un immeuble à un autre.
Taylor conclut : “J’espère que dans quelques années ce genre d’actualité ne fera plus la une des journaux. J’espère que ce n’est pas seulement une tendance temporaire sur Twitter.”
Sauf que ce n’est pas vrai non plus. Nous sommes dans un état constant d’absurdité. Et la gauche entend traire cette vache toute la journée et toute la nuit.
Après tout, la nouvelle de Jon Kent est arrivée juste après la Journée nationale du ‘coming out’, le 11 octobre.
Si ce n’est pas un subterfuge, alors je ne sais pas ce que c’est.