Le Conseil de la Fédération réagit contre la propagande anti-familiale en Russie

De nombreuses ONG financées par l'étranger promeuvent les idées féministes et cherchent à atteindre les jeunes en Russie. En d'autres termes, ils sapent les valeurs que la Constitution Russe leur impose de protéger.

Sénatrice Margarita Pavlova. Source : Site officiel du Conseil de la Fédération, licence CC BY 4.0 (https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/deed.ru)

Nous avons constaté à plusieurs reprises que la propagande dirigée contre la famille et les valeurs familiales est activement soutenue depuis l’étranger par des États et des organisations dont les politiques sont, c’est le moins que l’on puisse dire, hostiles à la Russie.

Les ambassades des États-Unis et du Royaume-Uni affichent des drapeaux “arc-en-ciel” “LGBT” sur leurs bâtiments, puis, avec d’autres pays du groupe Five Eyes, font des déclarations appelant la Russie à respecter ses prétendus “engagements” à “protéger les droits des … membres de la communauté LGBTI”.

Des organisations affiliées au réseau de George Soros veulent imposer à l’amiable une loi féministe sur la “prévention de la violence domestique” dans notre pays, qui en réalité est ouvertement dirigée contre la famille en tant que telle.

De nombreuses ONG financées par l’étranger promeuvent les idées féministes en Russie. En d’autres termes, avec le soutien des ennemis de la Russie, ils sapent les valeurs que la Constitution Russe leur demande de protéger.

Maintenant, enfin, le problème a été soulevé au niveau du Conseil de la Fédération.

C’est ce qu’a déclaré la sénatrice Margarita Pavlova, membre de la commission du Conseil de la Fédération pour la protection de la souveraineté de l’État, lors d’une réunion élargie de la commission le 31 mai :

“Il convient de garder à l’esprit que les forces extérieures et les États inamicaux qui soutiennent les conflits interethniques et interreligieux dans notre pays et l’extrémisme qui se développe sur leur base apportent également un soutien global à la promotion en Russie d’idéologies destructrices de la famille et des valeurs familiales traditionnelles protégées par notre Constitution. Nous parlons de la propagande contre la famille et les droits des parents, du féminisme radical, de la promotion de l’avortement et de l’absence d’enfants, et de l’idéologie du genre et des LGBT. Tout cela menace aussi directement la sécurité nationale de la Russie en sapant l’un de ses fondements les plus importants – la famille.

Je suis convaincu que le sujet de la protection de la famille et des valeurs familiales traditionnelles dans le contexte de la garantie de la sécurité nationale de la Russie doit faire l’objet d’une attention particulière. Ce n’est pas un hasard si c’est exactement ce qu’a dit le président russe V. V. Poutine dans ses récentes directives au gouvernement.

Je voudrais également attirer l’attention sur le fait qu’aujourd’hui, les représentants des forces destructrices tentent souvent de détourner l’attention d’eux-mêmes, en s’efforçant de faire passer pour des “extrémistes” les forces civiques saines, les citoyens qui défendent leurs droits et nos valeurs les plus importantes et qui agissent dans le strict respect de la loi. C’est ainsi que les quelques partisans d’idéologies destructrices, agissant avec le soutien de forces étrangères hostiles à la Russie, tentent d’accrocher l’étiquette d'”extrémistes” aux défenseurs de la famille et des valeurs traditionnelles russes, spirituelles et morales, et même à l’Église orthodoxe russe.

Des observations très justes !

Au demeurant, la Russie n’est pas le seul pays où des radicaux anti-famille proches de George Soros tentent de transformer leurs opposants en “extrémistes” – des gens normaux qui protègent ce qu’il y a de plus précieux – la famille et les valeurs qui y sont associées. “Déplacer la responsabilité du mal vers le pire” et accuser d'”extrémisme” ceux qui défendent les véritables droits de l’homme semble être une nouvelle “méthodologie” de Soros, que ses alliés utilisent et utiliseront dans le monde entier.

Il est gratifiant que cette question ait été portée à l’attention du Conseil de la Fédération, car la protection de la famille est véritablement, sans exagération, une question de sécurité nationale. Il faut espérer que l’on continuera à accorder une attention sérieuse à cette question.

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