Au Canada, la tyrannie autour du Covid vise maintenant la liberté des familles à acheter de la nourriture

Le gouvernement provincial du Nouveau-Brunswick l'a baptisé " Plan d'Action Hivernal " pour lutter contre le COVID-19 ; il donne désormais carte blanche aux épiceries pour demander des papiers de vaccination. Le Canada est maintenant entré dans l'arène du "pas de vaccin, pas de nourriture".

Jusqu’au week-end dernier, les épiceries du Canada sont restées ouvertes à tous, quel que soit le statut vaccinal de chacun. Mais samedi, la province du Nouveau-Brunswick s’est aventurée en territoire inconnu et méconnaissable pour le Canadien moyen qui a toujours été attaché aux libertés et aux droits protégés par la Charte des Droits et Libertés du pays.

Désormais, les épiceries peuvent, selon leur bon vouloir, refuser de servir les familles qui ne présentent pas de preuve de vaccination.

Pas de papiers, pas de nourriture.

Nous sommes au Canada.

Cette décision radicale restera en vigueur jusqu’au printemps. Le gouvernement du Nouveau-Brunswick, paniqué, a publié vendredi son “Plan d’Action Hivernal”, annonçant que l’augmentation des infections au COVID-19 dans la province, au cours des deux dernières semaines est “très préoccupante”. Mais quelle est la réalité qui se cache derrière l’adjectif “très préoccupant” ? “Deux décès liés au COVID et 97 nouveaux cas”… dans une population de près de 780 000 habitants.

C’est très inquiétant oui…. mais surtout pour les familles qui refusent d’adhérer au discours dominant qui est poussé et encouragé à tous les niveaux – dans le pays et à l’étranger – et par toutes les grandes chaînes d’information. Et maintenant, ces mêmes familles se voient refuser le droit d’acheter de la nourriture à l’épicerie locale.

Il est devenu tout à fait clair que ces vaccins n’ont pas résisté aux rigueurs des tests et essais cliniques, et la preuve en est les effets indésirables qui sont signalés ( ainsi que les très nombreux qui ne le sont pas).

La Ministre de la Santé du Nouveau-Brunswick, Dorothy Shephard, a déclaré : ” Il est important que nous ayons un plan en place qui garantit que notre système de soins de santé n’est pas débordé, mais qui tient également compte de la santé mentale, physique et financière des Néo-Brunswickois. ” On peut se demander comment cette décision totalitaire sert la santé mentale, physique et financière des Néo-Brunswickois alors que la nourriture est l’un des besoins de base et fondamentaux de tout être humain.

De plus, les familles qui luttent contre cette tyrannie médicale savent qu’en raison de l’inefficacité des vaccins, elles ont tout à perdre à se conformer à ces décisions injustes.

Le docteur canadien Paul Alexander est un ancien conseiller principal pour la politique de lutte contre les pandémies du COVID au sein du gouvernement américain, Health and Human Services (HHS), Washington, DC.

Mme Shephard estime que si le “Plan d’Action Hivernal” est scrupuleusement respecté – de même que les mesures de santé publique telles que le port du masque, la distance physique et le lavage des mains (qui durent depuis bientôt deux ans ) – ce plan permettra de maîtriser le nombre de cas.

“Le pouvoir de nous maintenir au niveau 1 est entre nos mains”, déclare M. Shephard.

Oh, avons-nous mentionné que cela faisait partie d’un plan à trois niveaux ?

Quitter la version mobile