“Amab” et “Afab” ?

La dernière innovation du monde magique des LGBT, le monde fluide, celui qui continue à nous étonner, est de changer officiellement la définition de l'homme et de la femme.

YouTube, captures d'écran

Dans son podcast du 30 mars, Alessando Sallusti a commenté la dernière folie Lgbt visant à effacer les termes “homme” et “femme” :

“La tolérance consiste à accorder à tout autre être humain tous les droits que l’on revendique pour soi-même. Là, certains droits ne m’intéressent pas et c’est peut-être pour cela que je deviens parfois intolérant.

On me dit que la dernière nouvelle du monde magique des LGBT, le monde fluide en d’autres termes, le monde qui ne cesse de nous surprendre, est de changer officiellement la définition de l’homme et de la femme.

À l’avenir, selon eux, ceux qui naissent avec des attributs devraient être appelés “Amab”, ce qui signifie “assigné mâle à la naissance”, et ceux qui n’ont pas d’attributs devraient être appelés “ Afab “, “assigné femelle à la naissance”. […]

Je n’ai rien contre la fluidité des genres, mais je sais qu’il faut quelque chose de solide pour construire, sinon tout se met en place. Ce n’est pas que ces gens d’Amab m’inquiètent tant que ça, mais c’est sûr que la pioche aujourd’hui, la pioche demain, ce n’est pas comme si ça allait servir à grand-chose. Nous voulons qu’ils comprennent que celui qui naît homme sera toujours homme quel que soit le nom qu’on lui donnera, ce qu’il portera, avec qui il sera, les opérations qu’il pourra effectuer pour modifier son corps, car c’est là que se trouvent les gènes et, quels que soient les progrès de la génétique et ses expériences bizarres, ils resteront.

Il en va de même, bien sûr, pour une personne née fille. Nous pouvons jouer à l’infini avec les mots, utiliser des astuces et même jouer à l’illusionniste, mais la nature est cette matière et il n’y a pas moyen d’y échapper.

Mais je me demande alors pourquoi faire croire aux enfants que c’est possible, qu’ils ne sont pas ce qu’ils sont, mais ce qu’ils voudraient être. Je pense que l’on peut vivre paisiblement sa sexualité quelle qu’elle soit sans nier la réalité, car sinon on ne devient ni Amab, ni Afab, mais tout simplement ridicule et pathétique”.

Quitter la version mobile