Une clinique d’avortement du Texas transformée en centre d’aide à la parentalité

Dans une profonde victoire pour le mouvement pro-vie, une ancienne clinique d’avortement du Texas a été transformée en un centre offrant un soutien vital aux parents, démontrant ainsi le pouvoir des militants pro-vie locaux. Le McAllen Pregnancy Center (MPC), soutenu par Texas Right to Life, a pris possession d’un local qui abritait autrefois une clinique d’avortement Whole Woman’s Health (WWH).

Cet événement historique a eu lieu à la suite de la décision historique de la Cour suprême, en 2022, de confirmer les interdictions d’avortement des États, marquant ainsi la fin de l’arrêt Roe v. Wade. À la suite de cette décision, la clinique WWH a été mise sur le marché et achetée par l’Alliance péruvienne, un groupe de médecins dirigé par le Dr Luis Alberto Rosas, membre du conseil d’administration du MPC. Dans une démarche stratégique, ils ont ensuite vendu le bâtiment à MPC, à la grande surprise et à la déception de la directrice de WWH, Amy Hagstrom Miller, qui s’attendait à un centre de médecine familiale.

Sous la direction de la fondatrice de MPC, Yolanda Chapa, l’établissement propose désormais des tests de grossesse, des services de conseil, des cours d’éducation parentale et des fournitures pour bébés, entre autres services essentiels pour les parents. Bien que le centre ne pose pas de diagnostic, il est en mesure d’orienter les clients vers des gynécologues-obstétriciens pro-vie, ce qui permet à chaque client de repartir avec un rendez-vous chez le médecin et d’obtenir de l’aide pour demander Medicaid, le cas échéant.

Mme Chapa, qui défend résolument la cause des enfants à naître, a fait part de son périple de 17 ans à l’extérieur de l’ancienne clinique d’avortement, quelles que soient les conditions météorologiques. Elle attribue la transformation de l’établissement en un centre pro-vie à l’intervention divine, l’envisageant comme un phare d’espoir et de renouveau pour la communauté.

Le lobby pro-avortement continue de tenter de saper le caractère sacré de la vie, avec des tactiques telles que la facilitation de l’accès aux pilules abortives, le lobbying pour que les États codifient les “droits” à l’avortement, et en faisant de certains États des refuges sûrs pour ceux qui cherchent à contourner les lois pro-vie. Malgré ces défis, et alors que le débat sur l’opinion publique concernant l’avortement se poursuit, les pro-vie reconnaissent le besoin croissant d’offrir des alternatives viables et compatissantes à l’avortement, démontrant ainsi leur engagement à soutenir non seulement les vies à naître, mais aussi les vies des femmes qui les portent.

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