Le propriétaire de l’immeuble situé sur le boulevard Wilshire a résilié le bail de la DuPont Clinic, qui prévoyait d’offrir des avortements jusqu’à 31 semaines et six jours, quelle qu’en soit la raison.
Les militants pro-vie ont lancé des actions de prière et de protestation pour empêcher l’ouverture de l’établissement, ce qui a conduit le propriétaire à reconsidérer le bail. Tim Clement, directeur de l’action sociale pour les survivants de l’holocauste de l’avortement, a annoncé la nouvelle lors d’un rassemblement pro-vie qui s’est tenu à l’extérieur du bâtiment.
La victoire des pro-vie suggère que le gestionnaire du bâtiment n’avait pas anticipé les réactions négatives auxquelles il serait confronté en louant le bâtiment à DuPont. La présence de manifestants dans les rues de Beverly Hills et l’attention négative portée à la ville ont joué un rôle dans la décision du propriétaire de révoquer le bail.
Alors que les défenseurs de l’avortement affirment que les avortements tardifs ne sont pratiqués que pour des raisons médicales, la réalité est que de nombreuses femmes choisissent d’avorter au cours du troisième trimestre pour des raisons qui ne sont pas liées à la santé. La directrice des patients de la DuPont Clinic, Karishma Oza, va jusqu’à qualifier de “beaux” les avortements pratiqués à tous les trimestres.
Il s’agit d’une victoire soulageante pour le mouvement pro-vie, car l’annulation de cette clinique permettra de sauver la vie de centaines, voire de milliers de bébés.