La folie de l’idéologie du genre dans les écoles italiennes

Dans chacune des deux cents écoles italiennes, dont le nombre est appelé à croître rapidement, chacun pourra s'identifier comme il l'entend, et une classe commune de garçons et de filles est tombée dans l'oubli.

École paroissiale

Image par Pixabay

Jusqu’à présent, environ deux cents écoles italiennes ont discrètement adopté, sans autorisation ministérielle, un nouveau règlement permettant aux étudiants de s’engager dans une “carrière fictive”. Les élèves qui le souhaitent, même s’ils sont mineurs et sans autorisation parentale, pourront changer de nom. Les écoles italiennes choisissent d’adhérer au politiquement correct et introduisent des “carrières fictives”.

Le Liceo delle arti di Trento e Rovereto a été le premier institut où le conseil des étudiants a institué l’adoption d’une procédure “visant à garantir la protection des étudiants masculins et féminins qui ont entamé un processus de changement de sexe, prévoyant l’activation éventuelle – à la demande de la personne concernée – d’un pseudo-carrière” et envisageant de “garantir que les étudiants en transition puissent vivre dans un environnement d’étude serein, attentif à la vie privée et à la dignité de l’individu”.

L’alias de carrière n’a aucune validité pour l’État, ce qui signifie que l’étudiant devra se présenter sous son premier nom pour passer un examen, même s’il apparaît dans le registre électronique sous son nouveau nom. La province de Rome compte vingt-huit écoles actives, le Latium pas moins de trente-six écoles non mixtes sur son territoire, mais la région du Val d’Aoste est la seule à résister actuellement à la folie du genre.

Comme le rapporte Il Giornale.it à propos de la protestation des parents, “au cours des dernières heures, l’affaire est devenue publique et a suscité l’indignation générale. Sur les réseaux sociaux, devenus le théâtre quotidien d’affrontements sur ces sujets désordonnés, certains voient dans les pseudo-carrières un danger, en particulier dans les écoles. Avec les fameuses pseudo-carrières voulues par la gauche, commente une femme sur Facebook, un garçon peut faire semblant de se sentir fille et donc utiliser les vestiaires et les toilettes des filles. Quelqu’un, comme c’est souvent le cas en Amérique, peut non seulement s’arrêter pour les regarder mais aussi les violer, il serait bon d’éviter ces épisodes désagréables dans notre pays”. Les parents de certains élèves sont également opposés à cette pratique. En effet, il semble que des groupes importants de parents aient demandé l’abolition des pseudo-carrières dans les écoles”.

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