L’organisation à but non lucratif Consumers Research, dont la mission est “d’accroître la connaissance et la compréhension des questions, des politiques, des produits et des services qui préoccupent les consommateurs et de promouvoir la liberté d’agir en fonction de cette connaissance et de cette compréhension”, vient de lancer une campagne contre State Farm Insurance intitulée “Comme un voisin flippant… State Farm est là”. Tel que rapporté par Fox News, Will Hill, le directeur exécutif de Consumer Reports, a déclaré :
“Consumers’ Research lance une campagne contre State Farm Insurance parce que, récemment, un dénonciateur a porté à notre attention des preuves – des chaînes d’e-mails – montrant qu’ils ont intentionnellement essayé de cibler les enfants de maternelle pour des discussions autour des questions de transgenre, d’identité sexuelle, sans en informer leurs parents ou sans leur consentement, et en les ciblant spécifiquement dans les écoles publiques.”
Dans l’e-mail divulgué à Consumer Reports, State Farm a dit à ses agents :
“State Farm s’associe au projet GenderCool pour aider à diversifier les étagères des salles de classe, des centres communautaires et des bibliothèques avec une collection de livres pour aider à clarifier et à comprendre la conversation nationale sur le fait d ‘être transgenre, inclusif et non binaire.”
L’e-mail indiquait ensuite qui State Farm ciblait : les enfants dès l’âge de cinq ans:
“L’objectif du projet est d’accroître la représentation des livres LGBTQ+ et d’aider nos communautés à avoir des conversations stimulantes, importantes et autonomisantes avec les enfants de 5 ans et plus.”
C’est exactement la même tranche d’âge que Disney vise avec son “programme gay pas si secret”.
State Farm a ajouté que :
“Les agents sont la clé du succès de ce programme. À l’échelle nationale, environ 550 agents et employés de State Farm auront la possibilité de faire don de ce lot de 3 livres à l’enseignant local, au centre communautaire ou à la bibliothèque de leur choix… Parallèlement au don de livres, nous encourageons l’agent à mettre en avant notre engagement en faveur de la diversité sur ses pages de médias sociaux. C’est une façon fantastique de redonner et un projet facile qui aidera à soutenir la communauté LGBTQ+ et à améliorer le monde qui nous entoure.”
Dans l’un des livres de la liasse intitulé A kids book about being Non-Binary, l’auteur dit :
“Le genre est ce que vous ressentez dans votre cœur et votre esprit, mais il peut ne pas correspondre à ce que le médecin dit quand vous êtes né. Être non-binaire pour moi signifie que je ne suis pas une fille ou un garçon, je suis quelque part en dehors de ça.”
Dans un autre livre intitulé A kids book about being Transgender, l’auteur écrit :
Un jour, j’ai cherché “garçon qui se sent comme une fille” et j’ai trouvé des histoires de personnes qui étaient comme moi. C’est la première fois que j’ai entendu parler du monde transgenre. J’ai réalisé que je n’étais pas seul. Le sentiment que j’avais d’être une fille avait enfin un sens.”
Hild de Consumer Reports a déclaré :
“State Farm semble cibler des enfants de cinq ans, voire des enfants de maternelle, dans les écoles publiques pour des discussions inappropriées sur l’identité sexuelle. Nous voulons les dénoncer pour cette activité et informer les parents et les clients de l’activité de State Farm, afin qu’ils puissent, nous l’espérons, les faire cesser cette activité. Mais à tout le moins, s’assurer que leurs enfants n’ont pas été approchés par State Farm sur ces questions.”
Dans la publicité produite par Consumer Reports, le narrateur déclare :
“State Farm nous dit qu’ils sont un bon voisin, mais un bon voisin ciblerait-il des enfants de 5 ans pour des conversations sur l’identité sexuelle ? C’est ce que fait State Farm… Comme un voisin flippant, State Farm est là.”
Donc, nous y sommes. State Farm rejoint les rangs de Disney et d’autres grandes entreprises qui tentent de former des enfants dès l’âge de cinq ans à l’agenda LGBT radical. Et Consumers Research alerte tout le monde sur ce que fait State Farm. Espérons qu’après avoir appris l’existence de leur “voisin effrayant”, les gens iront s’assurer ailleurs.